Pauline, enchantée !
Entrepreneure, formatrice, doctorante
Mon histoire
Historienne de formation et de coeur, j’ai délaissé la poussière des archives pour le numérique à la fin de mes études à l’Ecole Normale Supérieure de Lyon. Après un drôle de virage, je me suis lancée dans l’accompagnement de la transformation des entreprises (digitale, environnementale, stratégique).
Pendant plus de 8 ans, j'ai accompagné la transformation digitale d'universités (emlyon business school) ou de grands groupes (Air France, IBM) avant de me spécialiser dans la transformation des organisations. Un étage au-dessus, j'ai accompagné les grandes mutations d'Air France ces dernières années.
J'ai ensuite rejoint la startup Hopium où j'ai accompagné, pendant quelques mois, le scale de l'organisation en mettant en place de nouveaux process et une nouvelle gouvernance.
Début 2023, je me lançais dans l'entrepreneuriat en devenant solopreneur (eh oui, il n'y a que moi ici!)
Mes compétences clés: une bonne plume, une grande capacité de synthèse, de la pédagogie et une curiosité à l’épreuve des balles.
Et puis je fais aussi un doctorat
Le pitch de ma thèse
Le changement climatique soumet les organisations polluantes à de nouvelles pressions sociales : elles sont de plus en plus contestées et leur légitimité est remise en question. Ces organisations peuvent mettre en œuvre des stratégies pour maintenir leur légitimité, notamment en collaborant avec différentes parties prenantes.
Parmi elles, les organisations adverses, que ce soit pour des raisons idéologiques (ONG) ou pour des raisons liées au marché (concurrents).
A travers une étude de cas menée au sein de la compagnie aérienne Air France, fragilisée par les mouvements de flight shaming, nous soutenons que les adversaires peuvent être des alliés précieux pour préserver la légitimité d'une organisation contestée.
Thèse en cours de réalisation à l'Université de Montpellier, sous la direction du Dr Paul Chiambaretto
Envie d'en savoir (encore) plus ?
Ecrivez-moi, ce sera plus simple. Je réponds plus facilement aux emails qu’aux coups de téléphone.